24.5.06

CINQ MILLE ATTENTATS

Cinq mille

Cinq mille, c'est un nombre à la fois si faible et à la fois si élevé, c'est surtout en ce moment le nombre d'attentats effectués par des musulmans dans le monde depuis le onze septembre deux mille un.
Ceci sans compter les dégâts matériels et humains dus aux émeutes de novembre en France (les émeutiers étant ainsi que vient de le démontrer un rapport en grande majorité de culture ou de religion islamique) ou partout dans le monde de par la manipulation de l'imam Ahmad Abu Laban suite aux innocentes caricatures publiées dans un premier temps au Danemark.

Chaque citoyen de par le monde ne peut que s'interroger face à tant de violence, preuve en est la quantité de livres publiés à ce sujet mais également leur succès et le récent succès du Coran dans nos librairies, mais les acheteurs lisent-ils ces livres ? (Je peux dire que ce fut mon cas, ayant même commencé avant le onze septembre).

Les analystes en tout genre fondent sur les plateaux télévisés et radio comme la vérole sur le bas clergé.

Parmi ceux-ci on en trouve de plusieurs genres, du sociologue ou politologue ignorant tout des dogmes islamiques aux différents érudits de l'islam et du monde islamique.

Le monde politique n'étant pas en reste, nos édiles ne manquent jamais une occasion de faire parler d'eux, ayant toujours quelques voix à conquérir pour les élections qui se préparent, qu'elles soient législatives comme récemment en Italie, communales comme en octobre en Belgique ou présidentielles telles que d'ici un peu moins d'un an en France.

Chacun se présentant ainsi que depuis les tout débuts de la démocratie comme ayant « la » solution aux problèmes qui nous gâchent la vie.

Au regard de ces éléments différents constats me viennent à l'esprit :

1. La complexité des enjeux.
2. L'ignorance de ce qui constitue la foi de un cinquième de la population terrestre.
3. La quantité de contre-vérités voire de mensonges émis par différentes parties.
4. L'inaptitude à envisager des solutions à court et à long terme.
5. La réduction ad Hitlerum de ceux dénonçant la violence du dogme islamique.

En ce qui concerne les enjeux, entre notre besoin en pétrole, nos valeurs humanistes et la volonté destructrice des détenteurs de cette ressource devenue vitale pour nos économies les possibilités d'action s'en trouvent très limitées.

Le dogme islamique constitué par le Coran et les hadiths (les dits de Mahomet) est non seulement une inconnue pour la majorité de mes concitoyens, mais l'est également de ceux qui nous informent et, pire, de ceux qui nous dirigent.

Ce dogme par contre n'est pas inconnu de ceux qui perpétuent ces attentats ni de ceux qui nous mentent (pratiquant la takkya : mensonge autorisé au musulman pour protéger ou répandre l'islam) en nous expliquant longuement que les terroristes n'appliquent pas l'islam.

L'intervention de l'OTAN en Afghanistan ou de la coalition principalement Anglo-États-Unienne en Irak, pour relativement satisfaisante qu'elle soit sur le plan militaire n'est pas présentée comme satisfaisante sur le plan humanitaire.

Enfin ceux qui tentent d'expliciter le dogme islamique avec un regard occidental, occidental c'est-à-dire perclus de culture judéo-chrétienne et gréco-romaine et nourri intellectuellement de convention de Genève et de Déclaration Universelle des Droits de l'Homme sont médiatiquement lynchés et quasi systématique qualifiés de proches de l'extrême droite quand ce n'est pas de fascistes voire de nazis.

Parlons en du nazisme, car c'est par ce biais qu'il est le plus aisé de synthétiser la situation :

Comment parler du nazisme sans parler d'Hitler

Naissance : 1889
Orphelin de père : 1903
Orphelin de mère : 1907
Putsch de la brasserie : 1923
Parution de « Mein Kampf » : 1925
Ascension vers le pouvoir, guerres, chute et mort : 1925-1945

Ce qui est important dans cette biographie plus que succincte, c'est le livre, ce livre où il décrivait son programme, programme qu'il mit en application.

Dans les années trente, malgré l'existence de ce programme, largement rendu public personne ne voulu croire à ce qui était prédit, à cette volonté de domination et de conquête pourtant commencée. Bien au contraire en mille neuf cent trente-huit les ministres Chamberlain et Daladier revinrent de Munich en prétendant avoir sauvé la paix.

Comparons maintenant avec Mahomet

Naissance : 570
Orphelin de père et de mère : peu après sa naissance
Mariage avec Khadija (40ans) : 595
Début de la révélation coranique : 610
Guerres et conquêtes islamiques : 623-632
Mort : 632

Ce qui est important dans cette biographie, c'est le livre, ce livre où est décrite la volonté de domination et de conquête, qu'astucieusement Mahomet prétend d'origine divine.

Malgré l'existence de cette volonté existant depuis quatorze siècles, largement rendue publique, personne actuellement ne veut croire à cette volonté de domination islamique, nos esprits humanistes s'y refusent, préférant croire au discours de paix que tiennent certains musulmans, ce en contradiction, apparente, avec le contenu de leur propre dogme (souvent conscients de mentir et pratiquant donc ainsi la takkya).

Car il n'y a pas à en douter le Coran appelle bien à dominer le monde, des centaines de versets appellent au jihad, à la guerre sainte, et jusqu'à ce que la Terre entière soit soumise à la sharia, c'est à dira à la loi d'Allah.

D'autres aspects peuvent également être comparés Hitler souffrait de monorchisme, malformation congénitale qui par les problèmes, plus psychologiques que physiologiques, qu'elle entraîne est susceptible d'être responsable de troubles sociologiques, spécialement dans les sociétés de type patriarcal.

Mahomet, ainsi que permettent de déduire les descriptions de ses « transes divines » souffrait d'épilepsie, maladie qui conduit à des troubles neurologiques.

Malgré et outre cet aspect de ces deux personnages, les populations qui les suivirent pratiquaient un véritable culte de leur personnalité.

Á un point tel que Mahomet est appelé « le beau modèle », qu'un homme représente un modèle est quelque chose d'assez répandu de par le monde, cependant il convient de connaître ce modèle, en ce qui concerne Hitler, tant les cours d'histoire ou les témoignages directs de personnes ayant vécu la période noire où il dirigea l'Allemagne, ainsi que la quantité importante de livres et de films réalisés depuis le milieu du XXème permettent d'avoir une assez bonne idée de qui il fut.

En ce qui concerne Mahomet à moins d'avoir grandi au sein du monde musulman ou de s'être plongé dans des livres souvent ardus ce n'est pas le cas, il est cependant aisé de citer quelques éléments saillants.

Gigolo : il épousa Khadija de quinze ans son aînée alors qu'il avait vingt-cinq ans, elle était riche, il était pauvre et son employé.

Voleur : le pillage de caravanes constituait sa principale source de revenu.

Esclavagiste : de nombreux versets du Coran explicitent l'attitude à avoir envers les esclaves. Les hadiths, mais aussi l'étude de l'esclavage pratiqué par les musulmans au cour des siècles en sont d'ailleurs des preuves flagrantes.

Violeur : Cas (entre autre) de Safiya, qu'il épousa, mais peut-on imaginer, même en se replaçant dans le contexte historique, qu'une femme consente à épouser et avoir des relations sexuelles avec un homme qui vient de massacrer sa tribu. Mais on peut également s'interroger sur le consentement des ses esclaves femmes…

Pédophile : il épousa Aïcha alors qu'elle avait six ans et consomma le mariage alors qu'elle en avait neuf et lui cinquante-quatre.

Assassin : Il fit entre autre tuer : une femme poétesse qui allaitait son dernier né, un poète centenaire (qui avaient eut le malheur de le railler), il fit également éliminer un camarade de jeu d'enfance qui l'avait vexé à cette époque.

Antisémite : près d'un verset sur six dans le Coran a une connotation peu ou prou antisémite.

Génocidaire : il fit égorger tous les hommes de la tribu des banu Qurayza, auparavant il avait fait expulser de Médine deux autres tribus juives.

D'autres éléments biographiques permettent également sans conteste de le qualifier d'escroc (période de sa jeunesse et première expulsion de La Mecque) et de sadique (l'exécution, l'égorgement, des Banu Qurayza le fit rire à gorge déployée).

Que ces éléments soient réels ou pas importe peu, étant donné que ces éléments font partie des descriptifs inclus dans le dogme musulman et à ce titre de la culture du musulman.

Tout ceci dit, revenons en à ce qui se passe actuellement, c'est-à-dire une montée importante du terrorisme dans le monde, terrorisme quasi exclusivement d'origine islamique et seule partie qui nous intéresse en l'occurrence.

Comme nous l'avons vu, l'islam(isme) (1) incite au jihad, à la guerre sainte, à la guerre contre les infidèles (2). Certains prétendent qu'en fait le jihad est constitué de deux parties, le petit jihad, la guerre et le grand jihad, l'effort fait sur soi même pour se comporter en bon musulman et que l'on trouve ces deux références dans le Coran, ce qui est vrai ; ce qu'ils ne disent pas, c'est que les versets appelant au « petit » jihad sont plus de cent dans le Coran et que l'on ne trouve qu'une seule et unique référence au « grand » jihad ; à cet effort que l'individu fait sur lui-même afin de s'améliorer.

Je n'ai vu aucun média, aucun homme ou femme politique se soucier du fait que le jihad fasse partie du préambule à la constitution iranienne ou encore que depuis la révolution la majorité pour les filles ait été abaissée à l'âge de neuf ans en conformité avec le comportement « exemplaire » de Mahomet.

Malgré ces faits, nos pays continuent à traiter avec l'Iran afin de subvenir à nos besoins en pétrole, cela pourrait à la rigueur passer (mal certes) mais de là à vendre de l'armement ou de la technologie nucléaire n'y a-t-il pas un pas que nous pourrions éviter de franchir ?

Je remarque également une autre lacune analytique d'importance, il s'agit du traitement médiatique apporté à la lettre écrite par le président Iranien au président des Etats-Unis, seul le site de l'UPJF en fait une analyse critique que je vous livre :

La lettre du Président Ahmadinejad au Président Bush, largement interprétée comme une initiative de paix, est, en fait, une déclaration de guerre. La phrase-clé de la lettre est la salutation qui la conclut. Dans une version de la lettre, qui compte huit pages, elle est laissée sans traduction [et seulement translittérée] : "Vasalam Ala Man Ataba'al hoda", ce qui signifie "Paix à ceux-là seuls qui suivent la bonne voie".

Il s'agit d'une phrase qui a une signification historique en Islam, car, selon la tradition islamique, en l'an 6 de l'Hégire - 620 de notre ère -, le prophète Mohammed envoya des lettres aux empereurs byzantin et sassanide, les exhortant à se convertir à la vraie foi, celle de l'islam, sous peine d'être conquis [par la force des armes]. Les lettres contenaient la même phrase que celle utilisée par le Président Ahmadinejad pour conclure sa lettre à M. Bush. Pour Mohammed, ces lettres étaient le prélude à une offensive musulmane, une guerre déclenchée dans le but d'imposer une domination islamique aux infidèles.

Il y a quelque temps le monde s'est ému du sort d'Abdul Rahman, Afghan qui s'était converti au christianisme et se trouvait de ce fait menacé de mort, conformément au dogme musulman qui prescrit la peine de mort pour celui qui quitte l'islam. Peine qui est encore prononcée dans nombre de pays musulmans, souvent commuée en prison à vie sous les pressions d'organismes tels Amnesty International.

Des milliers d'autres apostats de l'islam(isme) sont menacés de mort de par le monde certains sont connus et médiatisés tel Ibn Warraq, Walid Shoebat, Taslima Nasreen, Ayaan Hirsi Ali ou encore Messaoud Bouras, les menaces, et application de la peine quand elle a lieu, sont souvent le fait de proches ayant gardé la « vraie foi ».

La loi du talion, prise au pied de la lettre et donc sans les modérations talmudiques est également encore appliquée dans nombre de pays, amputation, énucléation, arrachage de dents saines, etc. sont largement pratiquées là où est appliquée la sharia.

À ce jour, en Irak, et depuis le premier janvier de cette année, des musulmans ont fait volontairement 2793, deux mille sept cent nonante trois, victimes (je parle ici uniquement des décès) la coalition 44, quarante quatre, ce y compris les civils pris au milieu de tirs croisés, mais les média préfèrent nous parler des humiliations faites aux prisonniers d'Abou Graïb que nous parler (à défaut de nous montrer) des insupportables exécutions (principalement des égorgement à la façon du « beau modèle » Mahomet après la bataille de Badr) faites par les musulmans, exécutions faites conformément aux prescriptions coraniques.

Malgré tous ces faits, sur les écrans de télévisions, dans les journaux ; je ne trouve pas de journaliste pour remettre en question les affirmations « d'islam(isme) : religion d'amour et de paix ».

Non, les journalistes préfèrent nous instiller un sentiment de culpabilité postcoloniale, post esclavagiste ou post-croisades.

Ils ne mentionnent jamais, ou peu s'en faut, que les croisades furent une réponse aux conquêtes islamiques et au rançonnage des pèlerins chrétiens, que ce fut nos pays qui abolirent l'esclavage, que la colonisation de l'Algérie résultait du refus d'Alger de mettre fin au piratage en Méditerranée et que la France y abolit l'esclavage.

Rien n'est dit non plus sur la quantité d'infrastructures construites dans ces pays, routes, voies de chemin de fer, hôpitaux, écoles… et de l'état de délabrement dans lequel sont tombées toutes ces structures suite à la décolonisation. (Soyons clair, j'énonce des faits, je ne prône pas une recolonisation.)

Ils ne mentionnent non plus jamais, que le jihad continue ; sur la trentaine de conflits qui embrasent actuellement le monde vingt cinq ont pour protagonistes des pays musulmans.

Il y a plus d'envoyés spéciaux en Israël, à Gaza et en Judée-Samarie que sur tout le continent africain, il ne se passe pas une semaine sans que l'on nous parler d'un attentat contre Israël, mais le monde politique s'interroge sur la manière d'aider le peuple palestinien (3), peuple qui a voté à 60% pour un parti terroriste qui a dans sa charte l'éradication de l'État d'Israël.

Posé en d'autres termes et en faisant preuve d'une touche de cynisme on pourrait dire que nos gouvernements se demandent comment subventionner le terrorisme…

Ne tenant pas à m'étendre plus que cela sur un conflit aux ramifications complexes, je ne parlerai plus de la situation israélienne, toutefois je tiens à revenir sur l'absence drastique de journalistes sur le continent africain, car il en résulte un gravissime manque d'information sur ce que s'y passe, sur une autre forme de terrorisme que celle que connaissent les Israéliens, les New-Yorkais, les Londoniens, les Madrilènes, les Moscovites ou encore les habitants de Beslan, il s'agit de ce qui se passent au Soudan, au Tchad, au Nigéria, en Égypte (et je ne parlerai pas ici de Sharm-el-Sheikh ou du Caire) au Kenya, en Éthiopie, etc. dont on nous parle trop peu, beaucoup trop peu !

Dans tous ces pays à majorité musulmane ou à tout le moins à forte minorité musulmane, les chrétiens et juifs (l'athéisme et l'agnosticisme sont inconcevables pour un musulman) subissent pogroms, spoliations, vexations ; ce de manière récurrente et plus que fréquente, ces actions également sont en accord avec le dogme islamique et le statut de dhimmi (protégé) qui se doit bien entendu de payer un impôt spécifique pour cette « protection », cet impôt porte le doux nom de jeziya et est explicitement prescrit par le Coran, les hadiths et la sharia, cette « protection » quand on l'analyse de près (Cf. les livres de Bat Ye'or, Bernard, Lewis, Yves Courbages et Philippe Fargues, etc.) se rapproche étonnement de celle instituée par les différentes formes de mafia à travers le monde.

Il y a eu des centaines de milliers (si pas des millions) de morts au Soudan, le conflit s'étend au Tchad voisin, là encore il s'agit de jihad, mais tout au plus y consacre-t-on occasionnellement une ou deux minutes au journal télévisé du soir, le statut de dhimmi ayant été aboli par les puissances coloniales, les musulmans n'ont plus lieu d'en tenir compte et appliquent donc ainsi l'autre versant de la loi : convertir ou éliminer. Les chrétiens en Égypte, les coptes, c'est-à-dire les habitants originels du pays, ceux qui vivaient sur les berges du Nil avant les conquêtes mahométanes vivent dans des situations intenables, violences physiques, menaces permanentes, haut-parleurs des muezzins braqués, volume à fond, vers les classes des écoles chrétiennes, etc. ad nauseam.

Cependant les journalistes continuent à boire les paroles des Tarik Ramadan, Malek Chebel, Dalil Boubakeur ou encore Rachid Benzine ; ne comprenant pas qu'eux aussi en tant que musulmans visent à ce que la terre entière devienne musulmane qu'ils ont la même mission qu'Oussama ben Laden ou Abu Musab al-Zarkawi, simplement vivant en Occident ils appliquent d'autres méthodes plus conformes à notre mode de pensée qui favorise le dialogue, là encore le manque de culture historique des journalistes apparaît comme flagrant à celui qui s'est penché sur les textes de l'islam(isme), car ces personnes que l'on nous présentent comme modérées ou comme réformistes ne font que pratiquer la takkya afin d'endormir la vigilance, de la même manière qu'Hitler et Mussolini ont signé le traité de Munich en mille neuf cent trente-huit.

En effet combien de journalistes savent-ils que le Coran est intouchable, qu'il constitue « un livre pour tous les Hommes et tous les temps ».

La situation dans nos pays en est une preuve flagrante, l'Europe a vu de nombreuses vagues de migration au cour du vingtième siècle, les populations migrantes se sont toutes intégrées dans leur pays d'accueil, l'on pourrait me rétorquer qu'il s'agissait de populations ayant un socle culturel identique (judéo-chrétien et gréco-romain) cependant ce serait faire fi des populations d'origine asiatique, ou encore pour la Belgique des populations congolaises qui dans l'ensemble ne posent pas de problèmes, alors même que 80% des délinquants sont d'origine maghrébine pour 5 à 6% de la population vivant en Belgique (mais surtout pas d'amalgame n'est-ce pas), c'est-à-dire en très forte proportion, si pas en totalité de culture, et probablement de religion musulmane et donc habitués à considérer le non-musulman comme un être inférieur ainsi que l'enseigne le Coran.

Les revendications allant à l'encontre de notre culture, voire de nos lois et nos constitutions émanent toujours des populations de religion musulmane (refus de la mixité, port du voile, alimentation spécifique, etc.) et ces personnes sont largement soutenues par les pseudo-réformateurs que je citais plus haut. Ils agissent de fait comme une véritable cinquième colonne, combien de politiciens en ont-ils conscience ?

Enfin il convient d'ajouter un dernier morceau au puzzle de la situation que vit le monde à l'heure actuelle, il s'agit d'un petit bout de phrase prononcée par un dirigeant Algérien il y a une trentaine d'années : « Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire » (Houari Boumedienne 1974). Et quand on voit le taux de natalité des populations maghrébines, et les flambées de violences ethniques que connaissent les quartiers à forte population immigrée, il y réellement de quoi se poser des questions.

Comme nous venons de le voir, l'islam(isme) mène le jihad de trois manières différentes :

1. Par l'épée
2. Par la plume
3. Par la démographie

Le jihad par l'épée n'est mené que localement et parfois ponctuellement au sein même de nos pays, la raison en est simple, les forces militaires occidentales sont bien plus puissantes que celles des pays musulmans et c'est ce seul facteur qui empêche qui nous connaissions une invasion militaire massive de la part des pays soumis à la loi d'Allah.

Ne pouvant nous conquérir par la force des armes, les musulmans, qui suivent les préceptes coraniques choisissent donc les deux autres voies, ces voies trouvent toutefois une forme de renfort dans le terrorisme, puisque celui-ci fait parler de l'islam et que ces musulmans agissant par la plume nous montre en comparaison des masques angéliques ; cependant il s'agit de masques, ainsi que le démontre très bien Caroline Fourest à propos de Tariq Ramadan.

Sachant tout cela, j'attends de nos dirigeants un peu plus de réalisme politique, une fin de non-recevoir à toute exigence ou revendication d'ordre religieux en ce qui concerne l'islam(isme), sachant que toute concession est considérée, par les musulmans, comme un signe de faiblesse, que céder à une revendication c'est préparer le terrain à la suivante et ce jusqu'à ce que la Terre entière soit soumise à la loi d'Allah, que cette loi, je n'en veux pas et que je sais que c'est le cas de la majorité de mes concitoyens Belges, Européens et Terriens.

Non les juifs et les chrétiens ne sont pas des êtres inférieurs.
Non l'homosexualité n'est pas un crime et l'homosexuel ne doit pas être mis à mort.
Non l'adultère ne doit pas être lapidé.
Non celui qui refuse de reconnaître Mahomet en tant que prophète ne doit pas être mis à mort.
Non la Terre entière ne doit pas être soumise aux lois iniques de la sharia.
Non le vaincu d'une guerre ne doit pas devenir esclave du vainqueur.

Toutes ces choses auxquelles je dis non sont prônées par l'islam et ses textes.

Alors encore combien d'attentat dans le monde avant que nos politiciens ouvrent les yeux et agissent avec un peu plus de conséquence ?

Cinq mille ?
Cinquante mille ?
Cinq cent mille ?


François Lallemand

(1) En français, islam et islamisme sont synonymes, et cela depuis 1697, quand d'Harbelot, professeur au Collège de France, a, dans sa Bibliothèque orientale, formé islamisme, en ajoutant le suffixe isme au mot arabe islam, le francisant de fait, parce que, de tous les noms désignant des religions, islam était le seul qui ne fût pas terminé par isme. La synonymie de ces deux noms est un fait de langue ancien, inscrit dans l'histoire de la langue et confirmé dans l'usage de nos meilleurs écrivains, même par les islamologues contemporains, puisque, dans le titre du livre de Bruno Etienne, L'islamisme radical (1987), islamisme a le sens "d'islam" : l'islamisme radical, c'est "l'islam à la racine", tel qu'il est exposé par les textes fondateurs et "l'islam extrémiste", tel que le prônent les militants de l'islam. Il est juste d'employer islamisme dans le sens d'islam, à savoir la religion des musulmans ou les pays musulmans. Non seulement cet emploi est pertinent, mais encore il est éclairant.

(2) C'est par ce terme que les musulmans appellent les non-musulmans, ce sera donc le terme que j'utiliserai pour le reste de document.

(3) La notion de peuple palestinien est fallacieuse elle fut créée de toute pièce en 1967, les habitants de ces régions se revendiquaient auparavant comme Libanais, Syriens, Jordaniens ou encore Égyptiens.

Texte repris du site france echos